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Les dernières actualités de l’Essonne
Articles
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Essonne en scène revient !
11 décembreEssonne, terre de musique
Pour la deuxième édition du Festival Essonne en Scène, le public aura la chance de découvrir les plus grands artistes français et les jeunes talents essonniens. "Notre ambition : faire de l’Essonne un "centre" culturel à part entière en proposant de l’art contemporain et de la musique actuelle" explique François Durovray, président du Conseil départemental de l'Essonne. Le lieu n’est pas choisi au hasard. Comme une parenthèse au charme singulier, le parc du château de Chamarande invite les festivaliers à déambuler dans ses bois et ses jardins remarquables. Un écrin de verdure à moins d’une heure de transport de la capitale.
Il est là le bonheur !
Le choix des artistes se révèle haut en couleur. M, Christophe Maé, Therapie Taxi, Roméo Elvis, Aloïse Sauvage et bien d’autres encore nous feront danser et chanter jusqu’au bout de la nuit. Le début de l’été sera coloré et rythmé aux sons des musiques de ces artistes que l’on aime tant. Essonne en scène n’oublie personne avec une programmation éclectique pour tous les goûts et accessible à tous avec des tarifs modérés. Aucun doute, vous allez tomber sous le charme…
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Sauvons le théâtre de Bligny !
11 décembreUn lieu chargé d’histoire
Construit en 1934 au cœur des 87 hectares du parc, le théâtre de l’hôpital de Bligny est un bâtiment autonome dans un style Art déco. Dès son ouverture/inauguration, il devient un équipement incontournable au service des pensionnaires grâce à ses nombreuses avant-premières cinématographiques et spectacles de chansons. En 1971, après 35 ans de projets pour les artistes et les spectateurs, le Théâtre de Bligny ferme ses portes avec une ultime séance de cinéma. Il sert alors de débarras pour l’hôpital et de terrain de jeu pour les enfants de Bligny.
Ce n’est qu’en 2000 que le théâtre sort de son long sommeil,après avoir été complètement reconstruit de l’intérieur, modernisé et ré-équipé. "Seul le piano Pleyel de 1930 est retrouvé intacte dans les décombres grâce aux matelas qui l’entouraient" explique Didier Dicale, co-directeur du théâtre. En 2014, à l’occasion des 80 ans de l’édifice, la façade donnant sur le parvis est restaurée à l’identique. "Les trois autres faces du bâtiment ont été sécurisées, mais n'ont jamais été restaurées. C’est une des raisons pour laquelle est lancée cette campagne de crowdfunding" ajoute Didier. En effet, ces travaux sont importants pour que l’aventure de la Compagnie Théâtrale de la Cité continue. De même que celle de Nicolas Hocquenghem, directeur artistique, et de son équipe, investis corps et âme pour faire vivre le théâtre.Dans le cadre de l’opération "sauvons nos monuments", le théâtre de Bligny à Briis-sous-Forges reçoit maintenant le soutien de la plateforme de crowdfunding Dartagnans.fr pour tenter de financer des travaux urgents. Pour obtenir les fonds nécessaires, cette opération se poursuit jusqu’à fin décembre et s’adresse à l’ensemble des essonniens.
Une programmation sur mesure
De janvier à juin 2020, 6 concerts auront lieu tous les jeudis : Léo Ferré, Edith Piaf, du jazz… Entre-temps, des conférences UTL – Université du Temps Libre Essonne – sont organisées et de nombreuses pièces comme Phèdre, le Tartuffe seront jouées.
Sans oublier l’une des vocations du théâtre : être le lieu des rencontres culturelles pour l’hôpital. D’ailleurs, les artistes animent des ateliers d’émulation artistique auprès des patients hospitalisés, dans le cadre du programme interministériel "Culture à l’hôpital", depuis 2011. "Par exemple, pour la journée du souffle, nous faisons venir des musiciens de fanfare. C’est, à chaque fois, un moment de partage unique" explique Didier Dicale.
Le prochain rendez-vous est une création exclusive d’un artiste en résidence à Bligny. Ce samedi 14, une adaptation musicale de l’œuvre de Paul Verlaine sera jouée par le compositeur et performer John Greaves. -
Petits et grands projets pour l’Essonne
11 décembreLe bien-être de l’enfant, une priorité
Les 2 200 habitants de Bouray-sur-Juine peuvent désormais profiter d’une maison de l’enfance regroupant le relais d’assistantes maternelles et le centre de loisirs. Un exemple-type d'opération qui change le quotidien des habitants et qui n'aurait pas pu voir le jour sans le soutien du Département (235 699 euros).
À Viry-Chatillon, l’école Rosa Parks a ouvert ses portes en septembre 2019 au terme d’un an de travaux à plus de 2 millions d’euros, subventionnés à 80% par le Département. Objectif : répondre à l’explosion du nombre d’élèves qui touche l’ensemble de l’Essonne. Certes une priorité mais les enfants ne sont pas les seuls à bénéficier de structures adaptées. Les Essonniens de tous les âges profitent des nouvelles installations dans leur commune.Des lieux intergénérationnels
Le coeur du village de Breux-Jouy est en plein chantier. Ici verra bientôt le jour un espace public privilégié de rencontres, de détente et de partage financé par le Département à hauteur de 111 000 euros et comprenant : des carrés potagers, des jeux pour enfants, un boulodrome, des distributeurs de pain, oeufs et produits locaux ou encore un belvédère avec vue sur la vallée de l’Orge…
Enfin, après six ans de travaux, l’église Saint-Pierre s’apprête à fêter son premier Noël dans son état d’origine à Brétigny-sur-Orge. Ce petit bijou du patrimoine essonnien, classé monument historique en 1977, a été totalement refait à neuf, du sol au plafond. Une restauration en deux temps financée à plus de la moitié par le Département : 385 532 euros sur un montant total de 643 553 euros. La première étape, de 2013 à 2016, avait pour objectif le sauvetage de l’édifice avec la stabilisation de l’ouvrage, la restructuration des charpentes dans leur configuration du XVIe siècle et la pose d’une nouvelle couverture en tuiles plates traditionnelles. La seconde phase portait sur la rénovation intérieure : réfection des sols, des systèmes électriques et de chauffage mais surtout remise à neuf des voûtes et des murs peints caractéristiques de l’église Saint- Pierre.
Le saviez-vous ? Après onze ans de fermeture, le stade nautique de Mennecy doit rouvrir ses portes le 9 janvier. Rebaptisé "Aquastade", il compte un bassin de 50 m et un autre de 25 m, un espace aquagym, une pataugeoire, mais aussi un mur d’escalade, des salles de fitness et un espace bien-être avec spa, sauna et hammam. Un équipement financé par le Département à hauteur de 7,5 millions d’euros. -
À Saclay, toute la recherche sur le climat en un seul lieu
29 novembreUne synergie favorisée
Sur le plateau de Saclay, l’Infrastructure pour les sciences du climat et de l’environnement (ICE) vient d'ouvrir ses porte. Sa particularité : regrouper près de 300 ingénieurs, chercheurs, techniciens, enseignants-chercheurs et étudiants du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE) sur un même lieu. Parmi elles, de grands noms scientifiques du domaine comme Valérie Masson-Delmotte, membre du Groupe d'experts international sur l'évolution du climat.
Toutes conjuguent leurs efforts pour faire avancer la recherche sur l’évolution du climat et de l’environnement. Elles étudieront également ses variations naturelles et celles induites par les activités humaines ainsi que leur lien avec le cycle du carbone et l’évolution du CO2.
Ces sujets, au cœur des priorités du plateau de Saclay, renforcent le rayonnement de ce dernier et de l’Essonne au sein de la communauté scientifique internationale. ICE est également un pôle d’attractivité pour les acteurs économiques régionaux et nationaux, en particulier les start-up et PME qui souhaitent valoriser leur savoir-faire technologique.Un équipement à la pointe
Le bâtiment a été conçu en fonction des outils de pointe équipant le LSCE, certains nécessitant des aménagements particuliers. "On étudie par exemple ici le magnétisme des sédiments car ce sont des marqueurs précis des événements climatiques passés", explique un des chercheurs du site. "Nous avons donc besoin pour cela d’une chambre isolée du champ magnétique terrestre. Elle est disponible sur le site".
ICE regroupe également l’ensemble des spectromètres de masse du LSCE, indispensables à l’analyse fine des matériaux. Grâce à eux, les scientifiques passent au crible les carottes de glace prélevées dans les calottes polaires du Groenland ou de l’Antarctique mais aussi sur les glaciers de montagne. Une manipulation qui leur permet de retracer l’évolution de la température terrestre sur plusieurs centaines de milliers d’années. "Le bâtiment abrite d’autres instruments de pointe comme l’ECHoMICADAS qui mesure l’activité de Carbonne 14 et permet la datation d’échantillons organiques, ou encore Icos, infrastructure de recherche européenne pour la mesure à long terme des gaz à effet de serre". -
À Saclay, toute la recherche sur le climat en un lieu
29 novembreUne synergie favorisée
Sur le plateau de Saclay, l’Infrastructure pour les sciences du climat et de l’environnement (ICE) vient d'ouvrir ses porte. Sa particularité : regrouper près de 300 ingénieurs, chercheurs, techniciens, enseignants-chercheurs et étudiants du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE) sur un même lieu. Parmi elles, de grands noms scientifiques du domaine comme Valérie Masson-Delmotte, membre du Groupe d'experts international sur l'évolution du climat.
Toutes conjuguent leurs efforts pour faire avancer la recherche sur l’évolution du climat et de l’environnement. Elles étudieront également ses variations naturelles et celles induites par les activités humaines ainsi que leur lien avec le cycle du carbone et l’évolution du CO2.
Ces sujets, au cœur des priorités du plateau de Saclay, renforcent le rayonnement de ce dernier et de l’Essonne au sein de la communauté scientifique internationale. ICE est également un pôle d’attractivité pour les acteurs économiques régionaux et nationaux, en particulier les start-up et PME qui souhaitent valoriser leur savoir-faire technologique.Un équipement à la pointe
Le bâtiment a été conçu en fonction des outils de pointe équipant le LSCE, certains nécessitant des aménagements particuliers. "On étudie par exemple ici le magnétisme des sédiments car ce sont des marqueurs précis des événements climatiques passés", explique un des chercheurs du site. "Nous avons donc besoin pour cela d’une chambre isolée du champ magnétique terrestre. Elle est disponible sur le site".
ICE regroupe également l’ensemble des spectromètres de masse du LSCE, indispensables à l’analyse fine des matériaux. Grâce à eux, les scientifiques passent au crible les carottes de glace prélevées dans les calottes polaires du Groenland ou de l’Antarctique mais aussi sur les glaciers de montagne. Une manipulation qui leur permet de retracer l’évolution de la température terrestre sur plusieurs centaines de milliers d’années. "Le bâtiment abrite d’autres instruments de pointe comme l’ECHoMICADAS qui mesure l’activité de Carbonne 14 et permet la datation d’échantillons organiques, ou encore Icos, infrastructure de recherche européenne pour la mesure à long terme des gaz à effet de serre".